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La déesse de la basse Me’shell Ndegeocello chauffera à blanc le public français du 26 au 30 janvier. PAR MARC ZISMAN | 24 JANVIER 2011 S'abonner par RSS Réagir
Me’shell Ndegeocello donnera cinq concerts dans l’hexagone ce mois-ci : le 26 à Nice (Théâtre Lino Ventura), le 27 à Marseille (Cabaret Aléatoire), le 28 à Arles (Cargot de Nuit), le 29 à Belfort (La Pourdrière) et le 30 à Paris (La Machine du Moulin Rouge). Dans son escarcelle, Devil’s Halo, son huitième opus sans attache ni contrainte qui allie nu soul et rock tendu, avec un raffinement divin dont elle a le secret...
Me’shell Ndegeocello est plus qu’une Princesse. Trop aisé de ne voir dans l’époustouflante chanteuse, bassiste et auteur-compositeur que le modèle féminin du légendaire nain psyché-funk de Minneapolis… Depuis quinze ans, son alchimie est parfaite entre jazz, soul, pop, funk et hip-hop, véritable tarte à la crème habituellement indigeste chez ses confrères. Avec elle, libre comme un oiseaun’a jamais sonné aussi juste. Logique, c’est le sens de Ndegeocello en swahili…
Me’shell Ndegeocello est unique car son amour pour les sons, les sens et l’essence de la musique supplante
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