FBI (France Bisexualité Info)
Coralie Gossiaux se droguait avec le père du bébé
NAMUR Comment Coralie Gossiaux explique-t-elle son désamour pour le malheureux Noam, le fils de son concubin (la vraie mère de Noam est décédée) ?
Cindy, une amie du couple, explique : “Noam a été très vite délaissé au profit de Lorenzo, le fils de Coralie et de Rahim. Lorenzo pouvait tout se permettre, Noam rien. Il voulait l’appeler maman, elle a répondu que c’était hors de question. Elle s’est un jour mise en colère parce que ses propres parents s’étaient comportés avec Noam comme s’il était leur petit-fils.”
L’accusée reconnaît, d’ailleurs, que la victime était son souffre-douleur. Cette amie, se rendant compte que les traces sur Noam provenaient de coups et non de chutes, avait pris des photos de l’enfant, qu’elle remit, plus tard, aux enquêteurs.
Coralie Gossiaux ne peut invoquer une enfance malheureuse comme circonstance atténuante. L’enquête de moralité a démontré qu’elle avait, au contraire, eu une enfance heureuse, une bonne éducation, qu’elle avait “tout ce qu’elle voulait, quand elle voulait” et était rarement punie.
Serveuse dans une taverne de Charleroi, le Blue Night, elle a commencé à se droguer et se prostituer. Elle explique que le patron du bar l’obligeait à prendre de la coca
