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Cary Grant et l'homosexualité: une vieille rumeur sur laquelle sa fille revient, et affirme qu'elle amusait son papa... qui a peut-être quand même un peu flirté avec le sexe dit fort!
S’il avait le menton "en fesses d’ange", Cary Grant n’en était certes pas un. Pour preuve, ses cinq mariages... Mais aussi une réputation de bisexuel qui, un quart de siècle après sa mort, galope toujours aux trousses de l’acteur fétiche d’Hitchcock.
Sa démarche était une chute inachevée, son look longiligne et son accent aristo-british avaient inspiré le personnage de James Bond à Ian Fleming (mais Grant refusa d’incarner l’espion, quand on le lui a proposé à l’âge de 58 ans), Bref, le bonhomme avait de quoi faire tomber raides-dingues les jouvencelles comme les ménagères, à la manière d’un George Clooney avant l’heure, même si la pub était moins sa tasse de thé. Les femmes. Toutes.
"OK, j’ai eu le béguin pour papa. OK, plus qu’un petit béguin pour papa." C’est ainsi que Jennifer Grant, sa fille de 45 ans, parle de l’archétype de la star au masculin, dans ses mémoires Good Stuff: A Reminiscence of My Father, Cary Grant. Un ouvrage cosigné avec Alfred A. Knopf qui sera dans les librairies américaines ce 3 mai où elle avoue n’avoir ressenti des sentiments égaux qu’à l’égard de l’acteur-musicien-producteur Donny Osmond et notre Jean-Paul Belmondo national.
"Quelque chose en moi a toujours pensé que mes parents s’étaient mis ensemble pour me mettre au monde. Vanité? Peut-être", confie encore la fille chérie de Cary Grant. Avant d’estimer que le caractère entêté de papa-mam