FBI (France Bisexualité Info)
Rédigé le 3 mai 2011
Dix pour cent des enfants infectés
par le VIH et traités par antirétroviraux présentent une résistance aux trois principales classes de médicaments, inhibiteurs nucléosidiques et non nucléosidiques de la transcriptase inverse et
inhibiteurs de la protéase ; tels sont les résultats d’une étude internationale publiée récemment dans la revue « The lancet ».
Les recommandations actuelles en matière de prise en charge des enfants infectés par le VIH
initiation précoce du traitement antirétroviral chez les enfants VIH+ pour limiter le risque d’évolution de la maladie ;
maintien d’une adhésion aux traitements sur le long terme, élément indispensable pour obtenir la suppression virale et éviter la survenue de résistances aux antirétroviraux.
Les résultats issus des cohortes COHERE
COHERE (Collaboration of Observational HIV Epidemiological Research Europe) [1] est une structure qui regroupe 33 cohortes de 30 pays européens visant à conduire des recherches épidémiologiques nécessitant de très grandes bases de données.
Le taux de résistance aux trois grandes classes