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« J’éprouve un vif plaisir à vous embrasser, mon cher Hetzel. Voilà longtemps que nous n’avons frotté nos épidermes l’un contre l’autre, et ça me démange… » Jules Verne, à son éditeur
«J’avais emporté votre cravate, cher ami, c’est presque aussi drôle que si j’avais emporté votre
caleçon… » « J’éprouve un vif plaisir à vous embrasser, mon cher Hetzel, voilà longtemps que nous n’avons frotté nos épidermes l’un contre l’autre, et ça me démange… » Ce sont hélas les
deux seules lettres manuscrites qui subsistent. Est-ce Verne lui-même qui a détruit toute sa correspondance, ou son fils Michel, soucieux de l’« honorabilité » de son célèbre père
?
À l’âge de 11 ans, Jules rêve déjà de voyages. Clandestinement, en 1839, il s’embarque à Nantes sur un
trois-mâts en partance pour les Indes. Mais un matelot le reconnaît et informe Pierre Verne qui réussit à rattraper son fils à la première escale. Jules, sévèrement corrigé, fera désormais
ses voyages en imagination.
En 1848, Jules se rend à Paris pour y faire son droit. Au restaurant Chez Vachette, rue du
Faubourg-Montmartre, il fait partie du club des Onze sans femmes. Que signifie cette réunion de misogynes
http://gayscelebres.hautetfort.com/archive/2011/06/index.html