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« Je peux dévorer ta saucisse jusqu’au bout, Gilles? » Rien à dire, elle sait parler aux hommes faibles, la blogueuse qui garde les yeux ouverts pendant le radada. J’avais vu juste en plaçant la petite Ioudgine à ma droite immédiate, au cours de cette blog party, la première du nom.
Le choix du restaurant avait pourtant posé problème. « Collège difficile », encore traumatisée par la découverte récente d’une paire de ciseaux dans le cartable d’un sixième d’adaptation, voulait absolument manger chinois, les baguettes en lieu et place des couverts habituels semblant la rassurer par leur aspect peu invasif. Je lui proposai de tenir sa mimine le temps du repas, ce qu’elle accepta de manière timide.
Marcel Ramirez avait fait son petit effet, en se pointant nu comme un ver, pour selon lui « rendre hommage au mec sur la pochette de Dog Man Starde Suede. » On allait bien rigoler, pour sûr.
Quant à Karim Miské, il se contentait d’observer notre tablée du coin de l’oeil, le regard perdu, songeant sans doute à ce manque de repères normés qui nous pousse à confronter ce jour nos vies virtuelles au fracas des illusions quadragénaires. Peut-être avait-il juste faim…
Ioudgine démarra fort : « Tu sais Gilles, un homme qui parle trop fort masque souvent une virilité défaillante. » Elle enchaina sur cette persistante odeur de tabac froid et de vieux cuir mêlés qui émane de mon être, ainsi que sur ma propension à séduire des femmes d’extrême gauche, retournées par cette promesse de force brute, coercitive et antinomique. Il n’y a pas à dire, elle s’y connaissait bien en mâles, la chroniqueuse qui aime les zgegs de ses voisins d’immeuble.
Marcel Ramirez, pour mettre un peu d’ambiance, glissa à « Collège Difficile » que même sans son
« Est-ce que je suis gai? »
« Est-ce que j’aurai une vie normale? »
« Pourrai-je me marier, avoir des enfants? »
Ces questions reviennent très souvent chez les jeunes qui se questionnent sur leur identité
sexuelle.
L’identité sexuelle est un processus qui peut s’avérer long : un processus parfois complexe pour les jeunes
LGBTQ, c’est-à-dire les jeunes qui s’identifient comme lesbiennes, gais, bisexuels, transsexuels ou qui sont encore en questionnement face aux diverses émotions et attirances qu’ils ressentent. C’est pourquoi Jeunesse, J’écoute désire encourager tout le monde à
discuter de ces questions qui préoccupent les jeunes.
« Pour les jeunes qui s’identifient à la lettre « Q » du sigle LGBTQ, il n’y a pas qu’une seule réponse. Il
n’existe pas de réponses toutes faites aux questions que soulève l’identité sexuelle » précise Alain Johnson, directeur des services cliniques de Jeunesse, J’écoute. La sexualité est un
phénomène que les gens explorent tout au cours de leur vie. Chez les jeunes, elle suscite parfois de nouvelles sensations et émotions qui peuvent générer de la confusion, de la colère ou
déboucher sur une mauvaise estime de soi.
« Les jeunes se demandent s’ils sont gais, parce qu’ils se sentent attirés par des personnes du même sexe ou
parce qu’ils ressentent des émotions inconnues » explique Johnson. « Ils ne comprennent pas que s’interroger sur son orientation sexuelle ne signifie pas nécessairement être gai ou le devenir.
»
Pourquoi discuter de questions
LGBTQ?
Les jeunes LGBTQ sont souvent victimes d’intimidation homophobe.
Ils sont également trois fois plus susceptibles de tentés de se suicider que l’ensemble des jeunes.
S’interroger sur les divers aspects de sa personnalité est tout à fait normal lorsqu’on grandit. Fantasmer sexuelleme
Ils s’affirment bisexuels...
La bisexualité, c’est d’être émotionnellement ou sexuellement attiré par les deux sexes. Cette orientation sexuelle est peu abordée et souvent négligée. Et pourtant, elle serait plus fréquente que l’on ose le croire.
Selon la bible et la convention, un homme et une femme, c’est le seul type de couple possible. Bien entendu, avec l’évolution et les changements dans la société, la nouvelle place de la femme et l’ouverture sur le monde et l’intimé, cela a bien changé. À savoir si l’orientation, hétérosexuelle, bisexuelle ou homosexuelle, naît du conditionnement de la société, des modèles parentaux ou de la composition biologique, le dilemme peut susciter bien des débats. Mais l’important, c’est de prendre conscience de diverses sortes d’orientation sexuelle, et de savoir les accepter.
Il y a déjà plusieurs années, Alfred Kinsey a découvert dans sa recherche datée des années 1940-1950 que 33 à 46 % des hommes et 15 à 25 % des femmes auraient des attirances sexuelles envers les deux sexes. Très avant-gardiste, il a su créer une échelle, utile encore aujourd’hui, dans laquelle la bisexualité prends une grande part;
0= Entièrement hétérosexuel(le) 1 = Prédominance hétérosexuelle, occasionnellement homosexuel(le) 2 = Prédominance hétérosexuelle, avec un «passé» homosexuel bien distinct 3 = Également hétérosexuel(le) et homosexuel(le) 4 = Prédominance homosexuelle, avec un «passé» hétérosexuel bien distinct 5 = Prédominance homosexuelle, occasionnellement hétérosexuel(le) 6 = Entièrement homosexuel(le)
Cette échelle qu’il a proposée suggère une approche différente de l’orientation, la rendant variable et non fixe. Aujourd’hui, on tente de tout étiqueter, des fruits au supermarché à notre orientation sexuelle. Tout doit être classé dans des sortes, des races, des types et des saveurs. Kinsey, lui, propose de rendre l’orientation sexuelle plus flexible. Du coup, si cette échelle pouvait être commercialisée davantage, les tabous, les stéréotypes et les jugements seraient en chute libre.
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Abordons maintenant leur pratique; bien des gens peuvent penser, à tord, que les bisexuels sont complètement débridés et s’engagent dans des relations à plusieurs, hommes et femmes confondus, le plus souvent possible. Au contraire, les bisexuels ont une sexualité semblable aux hétérosexuels et aux homosexuels; plusieurs disent ne s’engager dans des rapports qu’avec une seule personne à la fois. Ils vivent également fréquemment des relations engagées à long terme, allant même jusqu’au mariage. C’est l’orientation sexuelle qui peut mener à des couples à trois ou à des mariages très ouverts, mais ce n’est pas le cas de la majorité des bisexuels. Voici leurs différentes conceptions de l’amour…
Certaines personnes sont bisexuelles, mais se disent soit homosexuelles ou hétérosexuelles. Pourquoi? Principalement pour être mieux intégrées à la société, déjà fermée sur l’homosexualité, mais également parce qu’elles font le choix de se centrer sur un seul sexe. Elles sont conscientes de l’attirance qu’elles éprouvent pour l’autre sexe, mais n’iront jamais plus loin. Que ce soit parce que leur attirance est moins forte pour un certain sexe, ou pour des raisons plus importantes (par exemple une fille qui veut avoir des enfants a plus de chances de choisir son attirance envers les hommes). Ce choix mène souvent à des couples qui s’adonneront, après quelques verres, à des relations sexuelles à trois, afin de combler l’ambivalence du partenaire bisexuel, une fois de temps en temps.
http://fr.canoe.ca/artdevivre/ellelui/article1/2011/07/06/18381881-ca.html
Je vais vous racontez une
petite histoire, il y a quelques temps j'étais dans la situation de cette photo. J'avais passé une annonce et je voulais deux bi.
Donc faire un trio avec un couple bisexuel mec en gros. Mais voilà, j'étais comme cette fille, lorsque un des gars a enculé l'autre je le suçais mais il bandait
pas.
J'étais vraiment irrité en temps que bisexuelle de renom ces gars la mon vraiment énerver. S'ils sont pd et qu'une femme les fait pas bander qu'ils se barrent les
connards!
Je me suis sentie vachement mise à l'écart alors j'ai maté des vidéo porno bisexuel pour voir ce qui clochait...
J'ai rien trouvé! Je penses plutôt que les deux ploucs ont abusé de mon appart pour se cache
http://www.bi-sexuel.net/6852-2-hommes-oui-mais-moubliez-pas
Présenté à la Berlinale 2010, ce film du duo Ducastel et Martineau, évoque la déportation pour homosexualité, longtemps taboue et peu portée à l'écran.
Guy Marchand (à gauche) se confie à Yannick Renier (à droite).
Frédérick (Guy Marchand) est sylviculteur en Alsace. Cet homme solitaire et bourru, amateur de Wagner, n'apparaît pas aux obsèques de son fils aîné, suscitant la colère du cadet (François Négret). Réunis dans la propriété familiale, sa femme (Françoise Fabian) sa belle-fille (Catherine Mouchet), sa petite-fille (Sabrina Seyvecou) et le compagnon de celle-ci (Yannick Renier) vont tenter de le comprendre. Et découvrir son secret. Plus jeune, il a été déporté pour homosexualité…
Sobre et rare
Pour leur sixième long-métrage, Olivier Ducastel et Jacques Martineau se sont intéressés à un sujet encore
tabou, la déportation pour homosexualité. Dans le rôle principal, Guy Marchand surprend, trouble et émeut. Face à lui une magnifique Françoise Fabian dans le rôle d'une épouse aimante, loin des
clichés. Un film sobre et rare.
Après la comédie musicale (Jeanne et le ga
énâurmeu
(ps = superbe , à différencier de énorme)
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