Lundi 18 avril
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La bisexualité est
encore un sujet taboudans
notre société. Pourtant, chacun d'entre nous a une attirance pour les deux sexes. Explications avec un spécialiste de la question.
Alain Héril, psychothérapeute, sexothérapeute, formateur et écrivain évoque avec nous la notion trouble de
bisexualité. Pour lui, nous sommes tous bisexuels mais pour des raisons culturelles, nous privilégions une expresssion de notre sexualité...
- A-t-on une définition clairement définie de la bisexualité ?
Si oui, quelle est-elle ?
Etre bisexuel, c’est avoir aussi bien des penchants hétérosexuels que
homosexuels ou lesbiens. La bisexualité se
traduit dans l’acceptation de ces penchants et leur mise en acte.
- Pourquoi la bisexualité est-elle
(encore) tabou ?
Notre société a mis du temps à accepter l’homosexualité et le lesbianisme. Mais il est de bon ton de bien
différencier ces univers de l’hétérosexualité, qui reste considérée comme la norme. Dès qu’une personne se présente comme bisexuelle, cela crée un trouble difficilement acceptable car les
représentations d’une sexualité pouvant "jouer sur tous les tableaux" reste dérangeante et est considérée comme bizarre voire pathologique.
- Comment "savoir" que l’on est bi ?
Nous sommes toutes et tous fondamentalement bisexuels. Mais pour des raisons à la fois culturelles, morales
et psycholog
http://www.vivolta.com/desirs/bisexualite-homosexualite-couple-tabou-200901135314.html
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Lundi 18 avril
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22:46
La bisexualité est
l'existence, l'attirance pour les personnes des deux sexes. En l'occurrence un individu bisexuel présente l'intérieur de son psychisme, de deux potentialités (qui est en puissance, en attente en
quelque sorte), l'une féminine et l'autre masculine.
La bisexualité désigne également la pratique de relations sexuelles aussi bien avec les hommes qu'avec la femme mais cette pratique est le plus souvent incomplète et non permanente. La pratique
de relations sexuelles la moins souvent accomplie est épisodique. Selon les sexologues Master et Johnson il serait préférable d'utiliser le mot d'ambisexualité qui définit un homme ou une femme qui aime, sollicite ou répond ouvertement aux occasions sexuelles avec la même facilité et le même intérêt quel
que soit le sexe du partenaire et qui, en tant qu'individu sexuellement mûr, n'a jamais manifesté d'intérêt pour une relation stable».
Chaque être humain por
http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie/bisexualite-definition-9328.html
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Lundi 18 avril
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22:42
Catherine Deschamps, socio-anthropologue nous parle de bisexualité
Catherine Deschamps est l’auteur de nombreux articles ou livres écrits en collaboration et de deux ouvrages :
«Le miroir bisexuel, socio-anthropologie de l’invisible» et «Le sexe et l’argent des
trottoirs».
Elle est docteur en anthropologie sociale à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales à Paris. Avant ce
doctorat, elle a obtenu un DEA de sciences sociales à l’École Normale Supérieure à Paris et une maîtrise d’Histoire moderne à l’Université Paris-IV Sorbonne.
Elle a consacré sa thèse de doctorat à la gestion des risques VIH par les femmes et les hommes bisexuels en
France. En octobre 2006, elle rejoint le projet d’impulsion scientifique «Normes, genre et sexualités» de l’Université Libre de Bruxelles.
Le Curriculum Vitae de madame Deschamps serait très long à présenter. Son expertise nous permet cependant de
jeter un regard sur l'aspect social de la bisexualité.
Entrevue Catherine
Deschamps
Depuis que vous avez publié votre livre « Le miroir bisexuel » avez-vous constaté une évolution au
niveau de la reconnaissance de l’identité bisexuelle ?
En France, la plupart des associations qui se nommaient avant gaies et lesbiennes ont intégré les bi et les
trans. Par exemple le Centre gai et lesbien de Paris (CGL) est devenu le centre inter-LGBT. Idem, on ne parle plus de la "gay pride", mais de la "marche des fiertés LGBT". Cela dit, le changement
est de forme davantage que de fond : il n'y a toujours qu'une seule association spécifiquement bi en France (bi'cause), et les quolibets plus ou moins "amusés" et bienveillants des gais et des
lesbiennes continuent dès qu'on évoque la bisexualité. Le sujet est depuis plus d'une dizaine d'année un "marronnier" journalistique : tous les trois ou quatre ans, les magazines, certaines
télés, feignent de découvrir la bisexualité et de se passionner pour les questions qu'elle pose. En France, les recherches sur la bisexualité sont quasiment inexistantes et la littérature
scientifique ou militante sur le sujet est rare.
Est-on plus capable maintenant de cerner ce qu’est la bisexualité ?
Je ne crois pas qu'on cerne mieux la bisexualité aujourd'hui qu'il y a 10 ans : lorsque régulièrement des
journalistes m'appellent, ce sont éternellement les mêmes questions qu'ils me posent : est-ce que ça existe ? Les bi sont-ils plus ou moins discriminés que les gais ou les lesbiennes ?
Sont-ils/elles plus ou moins infidèles que les autres ? etc. Par ailleurs, la définition courte demeure toujours aussi problématique (nécessité de poser au moins le 3), et la communication via
les images fixes de ce que serait la bisexualité reste rare et ambiguë (risque de confond
http://www.bisexuelle.qc.ca/entrevues/89-auteurs/3446-catherine-deschamps-socio-anthropologue-nous-parle-de-bisexualite
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Lundi 18 avril
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22:30
© Jupiter
Hétéro ou homo, aujourd’hui, on affiche son identité sexuelle. Et on la revendique. Il existe pourtant une
troisième voie, encore taboue, qui consiste justement à ne pas choisir. Une ambivalence que nous aurions tous en nous ?
Laurence Lemoine
Actuellement, elle vit avec un homme. Il y a deux ans, Florence vivait avec une femme. D’aussi loin qu’elle s’en souvienne,
elle a toujours été attirée par les deux sexes. A 17 ans, parce que c’est avec une femme qu’elle fait l’amour pour la première fois, elle se croit homosexuelle. « Les garçons continuaient de
m’attirer physiquement mais je les trouvais idiots. Je me disais lesbienne parce qu’on me collait cette étiquette. Mais je n’ai jamais choisi un camp. » Aujourd’hui, à 37 ans, Florence a aimé
autant d’hommes que de femmes. Si elle assume aussi bien ce parcours hors du commun, c’est parce qu’elle a toujours pu parler simplement de sexualité avec ses parents. « A leurs yeux, rien
n’était malsain ni pathologique, explique-t-elle. Je me suis sentie libre d’aimer selon ma nature. »
Cette différence qui dérange
Amour libre, pilule, Gay Pride : notre époque croit avoir accompli sa révolution sexuelle. Elle admet qu’à côté du modèle
hétérosexuel dominant existe son contraire, l’homosexualité. Mais elle bute encore sur une troisième voie, celle ouverte par les bisexuels qui revendiquent le droit de ne pas choisir, le droit
d’aimer indifférem
http://www.psychologies.com/Couple/Sexualite/Desir/Articles-et-Dossiers/Sommes-nous-tous-bisexuels
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22:25
Gandhi bisexuel
Gandhi
crée le scandale plus de 60 ans après sa mort
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