Cette note révèle des éléments de la saison 2
Certaines métamorphoses s’imposent par cette fragile et fascinante lenteur que l’on n’a jamais envie de presser. A bien y réfléchir, deux saisons et 46 épisodes ne sont pas superflus pour faire d’Alicia Florrick (Julianna Margulies) une femme comme les autres. C’est le temps nécessaire à cette transformation afin qu’elle n’apparaisse ni précipitée, ni artificielle, ni plaquée sur une histoire somme toute banale. Cette lente montée d’Alicia vers elle-même est magnifiquement résumée dans la dernière scène, l’une des plus belles utilisations imaginables d’un ascenseur.
La symbolique des paliers est employée avec une cruelle subtilité et avec une force de suggestion qui conduit à un dénou
http://seriestv.blog.lemonde.fr/2011/05/19/the-good-wife-naissance-dune-femme/