Je connaissais Chantal parce qu'elle faisait de la politique depuis longtemps, ancienne élue municipale j'avais eu souvent l'occasion de l'interviewer. J'avais fini par prendre la carte de son parti. Nous nous voyons souvent dans le cadre de réunions. Elle voulait repartir en campagne et avait besoin de quelqu'un qui assure sa communication. Elle m'appela alors et demanda si j'étais intéressé pour assumer cette tache. J'acceptais parce que j'étais flatté et que je me disais que j'aurai souvent l'occasion de la voir. En effet, cette femme de 56 ans possédait sur moi un ascendant que j'avais du mal à m'expliquer. De longs cheveux blonds, des yeux noisettes, un nez légèrement retroussé, elle s'habillait de manière bourgeoise avec souvent des fourrures, un maquillage soigné, des toilettes de marque des escarpins noirs et des fragrances opiacés. Nous travaillons souvent ensemble, je lui écrivais ses discours, nous travaillons son image...

Souvent en rentrant chez moi, je me masturbais en pensant à elle , me rappelant le moment ou j'avais frôlé sa jambe gainée de soie au prétexte de ramasser un stylo. Chantal sentait cette attraction. Elle l'a titillé de manière discrète. Pour jouir de ma tension permanente. Et, un jour sortant d'un restaurant alors que nous étions grisé par l'alcool, elle me coinça dans l'ascenseur. M'embrassant à pleine bouche sa main glissa pour tâter mon paquet . Nous prîmes sa voiture . Elle me ramména chez elle affirmant" ce soir je n'ai ni mari , ni enfants" On se déshabilla rapidement, s'installant dans une espèce de boudoir avec divans à velours. A ce moment précis j'étais près à tout pour elle. Elle me regardait d'un air de dominatrice, vêtue uniquement de sa fourrure, de sa lingerie et de ses bijoux..

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