Vendredi 3 juin
5
03
/06
/Juin
22:45
Publié par Julien Massillon | Dans Égalité des droits,Société
Le symbole est fort: à Nancy (Meurthe-et-Moselle), la Marche des Fiertés LGBT sera précédée ce samedi 4
juin par un mariage entre deux femmes. La cérémonie aura lieu dans la matinée à l’hôtel de ville.
Comment est-ce possible? Tout simplement parce que selon l’état civil, Stéphanie Nicot est un homme.
Trans’, elle a refusé de donner à la justice les documents attestant des opérations qu’elle a subies. « C’est une question de principe », affirme-t-elle. Quitte à devoir rester de
sexe masculin sur ses papiers. Mais elle en tire parti aujourd’hui, puisqu’elle a de fait le droit d’épouser sa compagne, Élise.
CAS SIMILAIRE EN 2005
Un cas similaire avait vu le jour en 2005 à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), mais le maire Patrick Ollier (UMP) avait saisi le procureur de la République pour s’y opposer au motif
qu’il n’y aurait pas de « projet matrimonial ». Six ans plus tard, le maire André Rossinot (UMP/Parti radical) n’a pas soulevé d’objection. Il a d’ailleurs apporté son soutien à la Marche des Fiertés. Contactée par
Yagg, la municipalité s’est toutefois refusée à tout commentaire au sujet du mariage et a simplement indiqué que « les bans ont été publiés ».
« VICTOIRES MÉDIATIQUES »
Les fiancées non plus ne souhaitent pas communiquer au sujet du mariage avant qu’il ait lieu et
s’exprimeront publiquement au moment de la Marche. Militante, Stéphanie Nicot en profite pour frapper un grand coup: « Dans ce pays, il n’y a pas de dialogue entre la société et les
partis. Il faut des victoires médiatiq
http://yagg.com/2011/06/01/deux-femmes-vont-se-marier-a-nancy-samedi/
Par FBI (France Bisexualité Info)
-
Publié dans : FBI France Bisexualité Infos
-
0
Vendredi 3 juin
5
03
/06
/Juin
22:39
et LGBT et appeler à la
solidarité
Par Pierre-Olivier Gerdolle vendredi 03 juin 2011, à 11h34 | 4005 vues
Pour sa nouvelle campagne, le SNEG prévention a fait appel au dessinateur Xavier Gicquel, qui a réalisé une fresque de 16 personnages représentant la communauté LGBT. Pour TÊTU, il décrypte
cette galerie de portraits.
«Prévention, Santé, Solidarité, Ensemble on fait la différence». C'est le slogan de la dernière campagne
lancée par le SNEG prévention, la structure dédiée à la lutte contre le sida et les IST au sein du Syndicat national des entreprises gaies. L'idée? Représenter la communauté dans sa diversité,
notamment pour en montrer l'ouverture plutôt que le repli sur elle-même. Et rappeler le besoin de solidarité et d'entraide pour que chacun y trouve sa place, s'accepte, et s'engage.
L'artiste gay Xavier Gicquel (ci-dessous) a été sollicité pour réaliser cette composition, où chaque
«tribu» se fait une place. Pour TÊTU, il décrypte le message véhiculé par tous ces personnages.
TÊTU: Quels sont les différents genres de la communauté LGBT que vous avez
représentés?
Xavier Gicquel: Le propos initial était de représenter toute la communauté LGBT, pour une campagne de mobilisation contre le sida et que cela tienne sur une carte postale! À
l'origine, il ne devait y avoir que sept ou huit personnages et au fur et à mesure, d'autres figures se sont greffées. À un moment il a bien fallu que je me limite. Je n'ai pas pu représenter
tout le monde!
Je suis bien conscient que les gens désobligeants vont considérer cela comme des sortes de stéréotypes, mais
c'était le principe même du dessin. J'aurais aimé représenter toute la communauté LGBT, quels que soient l'origine, le milieu social, la religion ou les fétichismes mais j'ai condensé. Le «bear»
est en même temps ouvrier, le «clubbeur» en même temps sneaker, à chacun de se retrouver, même si ce n'est que dans un détail. J'ai aussi été obligé de «grossir le trait» pour qu'au premier coup
d'oeil, on puisse cataloguer tout le monde mais mon ambition n'est ni de heurter, ni de ridiculiser qui que ce soit! J'espère que l'on peut sentir la tendresse que j'ai éprouvé à «inventer»
chacun
http://www.tetu.com/actualites/france/seize-personnages-pour-representer-la-communaute-lgbt-et-appeler-a-la-solidarite-19533
Par FBI (France Bisexualité Info)
-
Publié dans : FBI France Bisexualité Infos
-
0
Vendredi 3 juin
5
03
/06
/Juin
22:37
et aguicheuse pour une
soirée charitable et 100% people !
-
TOUT SUR
CHRISTINA AGUILERA
34
Christina Aguilera a tenu à soutenir la chanteuse Mary J. Blige à l'occasion du concert charitable organisé hier soir à New York...
Par FBI (France Bisexualité Info)
-
Publié dans : FBI France Bisexualité Infos
-
0
Vendredi 3 juin
5
03
/06
/Juin
22:30
Déserteur pendant la Grande
Guerre, travesti, bisexuel, échangiste, proxénète d'occasion, alcoolique, violent et finalement assassiné par sa compagne... Le destin de Paul
Grappe semble construit pour servir le scénario d'un feuilleton à sensation. Pourtant, Paul a bel et bien existé et son histoire est racontée par des historiens tout à fait
sérieux, Fabrice Virgili et Danièle
Voldman. C'est qu'à travers cette affaire singulière se croisent à la fois l'histoire sociale d'un couple modeste marié en 1911, une réflexion sur les identités sexuelles multiples, et enfin
un cas parmi tant d'autres, certes original, de résistance à la guerre.
Le sombre héros de cette histoire, Paul, arrête ses études assez tôt. Il
trouve néanmoins à se former comme opticien qualifié. Louise, elle, obtient d'emblée son certificat d'études, mais n'exerce que de petits métiers. La guerre éclate alors que Paul a presque fini
son service militaire. Il est blessé une première fois en août, une seconde en novembre 1914. Il est alors accusé - puis disculpé - de s'être mutilé volontairement pour échapper au front, comme
l'ont fait nombre de soldats, en particulier au début du conflit. A la mi-1915, le retour au front semble imminent et Paul préfère déserter. Mais comment se cacher, échapper aux contrôles et aux
regards inquisit
http://www.lemonde.fr/livres/article/2011/06/02/un-genre-de-deserteur_1530846_3260.html
Par FBI (France Bisexualité Info)
-
Publié dans : FBI France Bisexualité Infos
-
0
Vendredi 3 juin
5
03
/06
/Juin
20:35
02 JUIN 2011
L'Institut de veille sanitaire (InVS) lance l'Enquête Presse Gays et Lesbiennes 2011 (EPGL), sur les modes de
vie et les comportements préventifs face au VIH chez les hommes ayant des relations sexuelles avec d'autres hommes (HSH) et, pour la première fois, chez les femmes ayant des relations sexuelles
avec les femmes (FSF). Cette enquête s'appuie sur un questionnaire anonyme inséré dans le magazine TETU du mois de juin et la mise en ligne de deux questionnaires, un pour les hommes et un les
femmes, du 16 mai au 15 juillet 2011, sur le site Internet dédiéwww.enquetegayslesbiennes.fr.
Une cinquantaine de sites identitaires gays et lesbiens vont relayer l'EPGL sur leurs sites.
L'EPGL 2011 est coordonnée et réalisée par l'InVS, avec le soutien scientifique et financier de l'Agence
nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales (ANRS). Elle s'adresse à toute personne se définissant homosexuel-le, lesbienne ou bisexuel-le quels que soient l'âge, la situation
conjugale ou sentimentale, le nombre de partenaires sexuels, le statut sérologique VIH. Dans un contexte épidémiologique où les contaminations par le VIH lors de rapports sexuels entre hommes ne
diminuent pas, et où peu de données sont disponibles sur la santé sexuelle des femmes homo-bisexuelles, le renouvellement et la modernisation de l'Enquête Presse Gays et Lesbiennes étaient
impératifs. Cette enquête ciblée a pour objectif de suivre les changements de comportements et leur impact sur la diffusion de l'infection à VIH chez les HSH en France, ainsi que leur mode de
vie. Pour la 1ère fois, l'EPGL recueillera des
http://www.arcat-sante.org/actus/1368/Lancement_de_l_Enquete_Presse_Gays_et_Lesbiennes_2011
Par FBI (France Bisexualité Info)
-
Publié dans : FBI France Bisexualité Infos
-
0