Lundi 18 juillet
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[30 juin 2011 - 17h37]
[mis à jour le 30 juin 2011 à 17h44]
Se protéger quand on fait
l’amour, c’est vraiment la base de la prévention contre les infections sexuellement transmissibles (IST). Or la vigilance en France, est à la baisse. Les comportements à risque se développent…
et les IST progressent. Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire(BEH), publié ce matin, passe en revue différentes maladies – à l’exception notable du VIH/SIDA : Gonococcies,
chlamydioses, infection à papillomavirus humain (HPV), hépatite B, syphilis… Et l’INPES joue sa partition, lançant une nouvelle campagne de prévention et de dépistage.
Les gonococcies, provoquées par la bactérie Neisseria gonorrhoeae, connaissent une progression importante.
Entre 2008 et 2009, leur nombre a augmenté de 52%. « Cette progression chez l’homme comme chez la femme et quelle que soit l’orientation sexuelle – même si les homosexuels masculins sont les
plus touchés -, justifie de rester vigilant », insistent les rédacteurs du BEH. L’INPES pour sa part, souligne que « ces infections sont en hausse constante depuis 2004 ».
Souvent asymptomatiques chez les femmes, elle est douloureuse chez les hommes. Les gonococcies se transmettent très facilement à l’occasion de relations bucco-génitales- fellation et cunnilingus –
car le pharynx est un véritable réservoir pour la maladie.
De son côté, l’épidémie de syphilis se poursuit depuis 2001, même si « le nombre de cas a baissé de 12% ces deux dernières
année », indiquent les rédacteurs. Cette IST touche tout particulièrement les homosexuels et bisexuels de sexe masculin. Et depuis quelques années, elle concerne
également les femmes. Si elle n’est pas traitée, cette infection provoque des complications graves au niveau du cerveau, des nerfs et du cœur. Avec la gonococcie, la syphilis est « une maladie
sentinelle, constituant un véritable observatoire de la sexualité des populations ». Leur surveillance reste donc au centre des travaux de l’Institut de Veille Sanitaire (InVS).
La lymphogranulomatose vénérienne (LGV), autrement appelée maladie de Nicolas-Favre, avait disparu au milieu des années 80. Réapparue en 2003,
cette IST concerne tout particulièrement la population homosexuelle.
L’hépatite
B (VHB), les infections à papillomavirus humain (HPV) et l’infection à Chlamydia
trachomatis (Ct) ou chlamydiose, sont le plus souvent asymptomatiques et potentiellement graves. Le virus de l’hépatite B
http://www.destinationsante.com/La-recrudescence-des-IST-se-confirme.html
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Lundi 4 juillet
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15:50
The battle against HIV/AIDS and its devastating
impact is the area of increasing concern to the UNESCO as a whole. UNESCO's focus on preventive education represents an important niche in the worldwide campaign to arrest and reverse this
scourge.
HIV/AIDS is a social issue. It involves every human being. But young people and especially young girls are
among the most affected by the HIV/AIDS pandemic.
From the beginning of the pandemic some powerful metaphors were built around the HIV/AIDS. These metaphors
produced and spread by the mass media strength the stigmatization and discrimination. Moreover, they make some people have inexact ideas about the disease and deny that they are able to be
infected by the virus or affected by the AIDS.
Good communication on HIV/AIDS can allow young people to revise the metaphors and stigmas and to develop new
projects in order to prevent the virus. Therefore, awareness-raising campaigns supported by non-formal education and access to information sources are crucial for re
http://www.unesco.org/new/fr/communication-and-information/crosscutting-priorities/hiv-and-aids/
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Vendredi 1 juillet
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22:11
lequotidiendumedecin.fr 30/06/2011
C’est une campagne au ton décalé que lance aujourd’hui l’Institut national de prévention et d’éducation
pour la santé (INPES) pour inciter les jeunes adultes à se faire dépister contre les IST. Dans le même temps, l’InVS appelle à la vigilance.
Jusqu’au 23 juillet, un film diffusé sur Internet (www.info-ist.fr) met en scène une « course-poursuite
bucolique » de sept jeunes gens à la recherche du partenaire de ses désirs. Franck, l’homme aux 423 conquêtes, Sonia, qui pense qu’il est l’homme de sa vie, David, qui sait
que Franck est homo, mais aussi Laurent, Christophe, Pétra et Alice, tous sont talonnés par Syphilis, Chlamydia, Gonocoques ou Hépatites, des personnages représentant les IST et qui n’ont, eux,
aucune préférence. « Des millions de gens
sont porteurs d’une IST sans le savoir, faites-vous dépister », conclut le film. La campagne sera visible sur les principaux sites intéressant les 15-30 ans.
Plus « décapant » et « percutant » encore,
des interviews filmées des 4 IST « stars » vont pouvoir être partagées sur les réseaux sociaux, Facebook, Dailymotion et Youtube. Chacune d’elle met en scène le personnage d’une
IST qui se présente et répond aux questions d’une journaliste concernant ses spécificités d’action, ses cibles préférées, ses modes de contamination, les complications, les traitements… et le
dépistage. À la question : « Pourriez-vous parler
de votre carrière ? », Syphilis, péremptoire, répond par ex
http://www.lequotidiendumedecin.fr/information/interviews-de-stars-des-ist-pour-une-campagne-decalee-de-l-inpes
Par FBI (France Bisexualité Info)
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Vendredi 1 juillet
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21:56
Loin de disparaître avec les récents progrès dans la lutte contre l'épidémie, le phénomène
révisionniste concernant des doutes sur les origines du sida, ou plus simplement la négation de l'origine virale de cette maladie qui a pourtant fait 30 millions de morts en 30 ans, a
paradoxalement trouvé un nouvel essor ces dernières années sur le net. Parfois, il s'agit d'idéologie, de délires scientistes ou parfois, de prétendus «traitements alternatifs» du sida.
Un sujet particulièrement d'actualité à l'heure où la
MIVILUDES a fait un gros plan sur les magouillothérapeutesdu cancer.
> Cet article a été repris, dans une version abrégée, sur Rue89.
En juin 2011, les termes «le virus du sida n'existe pas» retournent 73
000 résultats sur Google, en dépit des progrès fait tant dans la connaissance du virus et de ses mécanismes de destruction que des traitements. Echappant à tout comité de lecture, à
toute modération, ces thèses nient la cause médicale du sida, voire son existence et ont trouvé sur la toile un terrain de propagation idéal.
Le terme de révisionnisme désignait historiquement le mouvement demandant la révision
du procès Dreyfus . Le sens de ce terme s'est ensuite étendu, et désigne
aujourd'hui «un courant de pensée tendant à remettre en cause et modifier plus ou moins profondément, des faits considérés comme historiques». On utilise plutôt le terme de
négationnisme pour distinguer le révisionnisme tendan
http://www.vih.org/20110630/revisionnisme-sida-bien-vivant-sur-net-24877
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Mardi 28 juin
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09:37
Les travaux récents de l'équipe du Dr. Benkirane, publiés dans la revue Nature, visaient à identifier le facteur de
restriction opérant dans les cellules dendritiques et les rendant réfractaires à l'infection par le VIH-1.
Les facteurs de restriction se définissent comme étant des facteurs cellulaires pouvant empêcher la
réplication de certains virus. Face à une agression par un pathogène, les cellules dendritiques sont centrales à l'orchestration de réponses immunitaires efficaces. En effet, ces cellules
sont les sentinelles du système immunitaire, qui peuvent, d'une part, sécréter les molécules permettant de déclencher la réponse immunitaire innée et, d'autre part, capturer l'intrus et
le modifier pour en présenter des morceaux aux cellules chargées de médier la réponse immunitaire spécifique.
Des travaux menés par un autre groupe ont permis de montrer que, paradoxalement, l'infection
productive par le VIH-1 des cellules dendritiques permettrait d'éliciter une réponse immunitaire ciblant le virus. In fine, cela permettrait un meilleur contrôle de la réplication
virale chez l'hôte. Néanmoins, dans le contexte de l'infection naturelle, ces cellules sont grandement réfractaires à l'infection par le VIH-1. Au contraire, le VIH-1 utiliserait ces
cellules comme un cheval de Troie, afin de favoriser sa dissémination et son acheminement vers les organes lymphoïdes où il pourra rencontrer ses cellules cibles.
L'hypothèse avancée pour expliquer ce bloc s'opposant à la réplication virale est qu'il existerait un
facteur cellulaire -
http://www.vih.org/20110627/facteur-cellulaire-limitant-multiplication-vih-1-identifie-24819
Par FBI (France Bisexualité Info)
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